Il y a quelques jours se tenait le festival Rock en Seine 2025. Sur 5 jours, des dizaines d’artistes et 150 000 festivaliers se sont déplacés au sud-ouest de la capitale française. J’ai été accrédité à 4 de ces 5 dates et vais essayer de vous partager du mieux possible mon expérience sur place.
Ce report n’a pas vocation à être exhaustif. Il est le reflet de mon festival et comme c’est une expérience live, il y a toujours des aléas positifs et négatifs. Ainsi, mon planning a quelque peu changé entre mes plans initiaux et ce que j’ai concrètement découvert sur place. Plus les jours passaient et plus la fatigue se faisait ressentir, impactant aussi mes visionnages de concerts. De plus, le festival est longiligne et la distance entre la main stage et la scène bosquet nécessitait souvent une bonne quinzaine de minutes de marche et c’était sans compter quand la fosse était archi blindée de spectateurs.
A part une infime poignée d’artistes et groupes conviés je ne connaissais presqu’aucun d’eux mais ne manquais pas de garder un oeil curieux et une ouverture d’esprit. En amont du festival, j’ai passé mon temps sur Spotify à découvrir brièvement l’ensemble des artistes pour préparer mon planning et savoir ce qui serait plus ou moins susceptible de me plaire.
Durant chaque concert, je prenais de rapides notes sur mon téléphone Realme GT 7 Dream Edition pour me souvenir du mieux possible de mon expérience sur place et écrire cet article. Je remercie la marque de m’avoir prêté cet appareil avec lequel j’ai réalisé l’ensemble des photos et vidéos visibles dans cet article. Pour éviter que cette page pèse des dizaines de mégas, j’ai presque tout hébergé sur Twitter. N’hésitez pas à RT !
Vous le verrez dans mon article mais plusieurs shows avaient un niveau sonore aberrant avec des basses insoutenables. A ce titre, je le dis et ne le répèterai jamais assez mais protégez-vous ! J’ai été consterné de voir un père de famille et sa gamine de 8 ans à vue d’oeil sans protection très près de la scène principale. Pour ma part, j’ai la chance de compter sur Earsonics depuis des années avec des protections auditives moulées à mes oreilles. C’est un investissement que vous ne regretterez jamais, je vous le jure.
Jour 1 de Rock en Seine 2025
En ouverture du festival, on retrouvait un line-up d’artistes entièrement féminin.
Luvcat
Luvcat a délivré une pop bien énergique et puissante où l’on re-découvre les basses du festival. La foule s’est jointe à la fête comme vous pouvez le voir dans la vidéo ci-dessus.
Suki Waterhouse
L’artiste a récemment vu Oasis à Londres et en profite pour faire une reprise du groupe sur la grande scène du festival dans sa tenue très rose et girly. C’est une musique pop assez traditionnelle. Un set qui ne m’a pas marqué et que j’ai interrompu pour voir une autre scène.
Sunday (1944)
C’est un concert intimiste comparé à la foule de la grande scène en attente du headliner. Je peux donc me faufiler à deux pas du crash barrière. Nous avons un show dream pop / indie pop, musique très accessible avec une chanteuse toute de blanc vêtue telle une mariée. On retrouve cependant quelques gros riffs bien rock qui confirment la raison de la présence du groupe américain.
Chappell Roan
Le show le plus attendu du festival pour beaucoup de monde (dont de très nombreux non francophones) se tenait le mercredi soir du côté de la main stage. Pour ma part, je ne connaissais pas du tout Chappell Roan mais j’avais à coeur de découvrir la hype autour de celle-ci. Hasard des rencontres à l’espace presse, je suis tombé sur Mister MV, Poca (patron du Guru) et Hugo de l’agence Newvoice en fin d’après-midi. Ils m’ont fait l’immense honneur et sympathie de m’embarquer avec eux au sommet du festival parisien au coeur de la fosse dans la scène régie. Je vous laisse voir les photos et vidéos qui parlent d’elles-mêmes. Impossible d’avoir une meilleure vue. Immense merci !
Sur certains tracks, comme vous pouvez le voir dans les visuels, on retrouvait les paroles des chansons écrites en immense en fond de scène. C’est un show très pop qui musicalement ne m’a pas particulièrement marqué. Cependant, il faut reconnaître que c’était indéniablement la meilleure scénographie du festival avec le sentiment d’être dans un conte de fées avec cette immense chateau et les tenues fantastiques de l’artiste.
Les couvre-chefs publicitaires de Rock en Seine 2025
Un festival c’est aussi plusieurs activations de marques. Parmi celles-ci, on peut citer Crazy Tiger, Apérol, Deezer et L’Or. Ces 4 marques d’horizons variés permettaient aux festivaliers de repartir avec un bob ou une casquette selon diverses conditions. Si le mercredi la météo était très moyenne, le reste des jours suivants, il était particulièrement appréciable de se couvrir la tête pour se protéger du soleil.
La marque d’alcool Apérol offrait un bob réversible à chaque achat sur son stand. Il était aussi possible de repartir avec gratuitement (ainsi que d’autres goodies) via une grande boîte à boules qui réunissait une immense file d’attente. Gros coup de coeur pour les lunetttes rondes de couleur orange qu’on pouvait remporter également.
La marque de boissons énergisante Crazy Tiger invitait les spectateurs à tenir 60 secondes sur une taureau machine pour repartir avec un bob. De plus, il était possible d’avoir une sorte de tatouage de bras avec une solution hydrolique dans laquelle vous plongiez le bras pour le faire ressortir avec un bras tigré.
La plateforme de streaming musical Deezer offrait son bob violet avec un coeur blanc en participant à un blind test. Les groupes de joueurs se rassemblaient dans deux box qui diffusaient 1 playlist de 30 secondes. Sélectionnez à l’écran rapidement le plus de bonnes réponses.
La marque de café L’Or invitait ses clients à faire glisser un faux glaçon dans une grande vitre à obstacles. En fonction du lieu d’atterrisage, il était possible de repartir avec une casquette, un ballon géant gonflable ou un bac à glaçons. Le spécialiste du café utilisait ses machines et capsules et présentait sa nouvelle saveur à la noix de coco dans des versions hot et cold.
Jour 3 de Rock en Seine 2025
Après la soirée d’ouverture du festival, j’ai décliné la date du lendemain et poursuivi mon aventure festivalière au jour 3 de Rock en Seine, le vendredi.
Calling Marian
Calling Marian est une jeune femme seule sur scène avec sa boîte à rythme et ses musiques electro bien tapantes. Ses productions doivent être encore meilleures tard le soir mais en tout cas un démarrage bien bien lourd, ça promet de belles choses pour le reste de la journée.
Eat-Girls
Nous avons un trio français avec une musique légèrement expérimentale et sombre sur fond rock. Ce fut une intéressante découverte sur la petite scène bosquet du festival.
WhoMadeWho
Difficile de ne pas mentionner les énormes bouées argentées qui entouraient les musiciens du groupe danois. Ils offrent un son indie electro pop facile d’accès. Visuellement sympa mais musicalement moins remarquable. Basses ultra violentes à en faire trembler mon bob.
Max Baby
C’est un trio français bien énergique qui délivre du rock traditionnel et qui a donc toute sa place dans ce festival.
Empire of the Sun
Après Roan, c’est pour l’instant la meilleure scénographie du festival avec une énorme tête sur la droite et ce que je pense être un genou à gauche. Le fond de scène présente de multiples animations hypnotisantes qui enrichissent l’expérience live qui se mêlent bien aux sons envoûtants d’Empire of the Sun.
Il y a une richesse des costumes du chanteur mais aussi des danseurs. Une très chouette découverte qui mérite d’être vécue en live. La musique synthpop est également de qualité même si je trouve que le festival abuse de fou sur la puissance des basses malgré mes protections auditives.
La foule commence à être compacte mais prend plaisir à danser sur les sons de l’australien à la tenue originale. Se frayer un chemin vers la main stage devient de plus en plus complexe si on quitte ses abords.
Caribou
Encore une fois je fais face à des basses trop puissantes qui m’obligent à reculer de plusieurs dizaines de mètres tant mon corps vibre. Le groupe délivre un son electro très rythmé et surtout avec beaucoup de basses à cause de la caisse claire de la batterie qui inonde l’immense parc du festival de sa puissance. L’expérience globale ne m’a pas particulièrement marqué. J’ai préféré partir de cette scène plus tôt pour Aurora que j’attendais beaucoup.
Aurora
Elle a débarqué sur scène avec une robe très modeste qui se rapproche presque plus du bout de tissu que d’une robe et était pieds nus. Elle est à l’image de ses titres sur la nature, l’environnement et les animaux. Aurora est l’artiste la plus souriante du festival et de loin. Elle a une voix envoûtante qui berce la foule pour un parfait vendredi soir. Récemment elle a réalisé les musiques de Kaiju N°8 diffusé sur Crunchyroll.
C’est une artiste avec beaucoup de grâce sur scène et qui se donne pleinement. Etant pieds nus, elle jouit d’une liberté de mouvement incomparable telle une danseuse étoile. Elle a très régulièrement les larmes aux yeux.
Son backdrop m’a parfois intrigué avec notamment un duel contre elle même.
Incroyable moment autour de la dépression et du poids sur les épaules de chaque personne dans l’assemblée qui souffre en silence. L’artiste invite à ne pas garder cela secret et rappelle que la première chose qu’on fait en étant bébé est de crier à l’aide et qu’avec les années on oublie cela et n’osons plus partager le poids de la souffrance avec ceux qui nous entourent.
Floating points
Presque 22h, les gens veulent “se terminer” et ce groupe est idéal pour cela avec ses énormes beats electro. Les photos sont presque impossibles puisque la scène diffuse en continu des stroboscopes. Ici le projet est simple : boum boum boum et on ne réfléchit pas.
Anyma
Dans la continuité de l’artiste précédent, on a droit à de l’electro qui tabasse mais avec un soin particulier attaché au backdrop avec des images de synthèse très qualitatives et beaucoup d’éléments en lien avec le spatial. On peut citer par exemple une chute d’un robot depuis l’espace sur la terre. Il y a une variété d’images mais qui se mêlent bien avec les sons proposés par Anyma. Un show qui m’a définitivement marqué.
Les activations de marques de Rock en Seine 2025
J’ai déjà parlé de certaines activations de marques avec un vaste panel de couvre-chefs mais continuons avec d’autres entités et projets.
Commençons avec Vico qui a été ma source d’alimentation principale du festival avec une montagne de chips gratuites sur le floor public et l’espace presse. J’ai aussi essayé de gagner encore plus de snacks dans un jeu de lancer de patates dans des trous (sans succès). J’ai été triste par contre de ne pas retrouver Ben & Jerry’s comme l’an dernier :'(
Parions Sport de la FDJ avait un espace dédié “aux paris”. A l’entrée on vous remettait un point que vous alliez parier face à votre ou vos adversaires dans des épreuves de quiz, fléchettes et babyfoot pour les échanger contre des lots.
Les assurances Generali avaient divers espaces sur le festival et s’attachaient à protéger les festivaliers avec notamment des capotes de verre et des protections auditives jetables.
En partenariat avec Music Care, il était possible de profiter sur un des stands de l’assureur de musique thérapeutique pour se détendre et faire une pause pendant Rock en Seine.
La marque d’alcool Monkey Shoulders avait un joli stand orange dans lequel il était possible de faire du tobogan.
Les glaces Bon Dimanche étaient présentes à l’espace presse mais aussi sur le floor public. Leurs équipes m’ont fait la sympathie de me faire goûter leurs produits glacés bien rafraîchissants durant la chaleur du festival. Ce sont des produits bio et locaux réalisés dans le 78.
Jour 4 de Rock en Seine 2025
Le samedi était pour moi la plus grosse date du festival alors sans plus attendre découvrons cela !
Sophye Soliveau
On démarre la journée en douceur avec un peu de soul et une artiste qui joue de la harpe accompagnée également d’un coeur gospel.
Hypersthene
Enfin du vrai rock avec headbanging du chanteur et de la fosse. Petite pépite qui mérite pleinement sa place à Rock en Seine et offrait un beau tour de chauffe pour le reste de la journée légèrement plus chaude que les autres jours.
Slow fiction
Ce groupe américain a présenté un panel de garage, indie-rock et shoegaze music appréciable sans pour autant être marquant.
Artemas
Pitié calmez-vous sur les basses ! C’était impossible de rester aux abords de la scène.
L’artiste a une voix assez fluette pas forcément à mon goût qui suis plus en recherche de grosses voix masculines comme on retrouve chez Trollfest par exemple. Rock en Seine définit le groupe comme faisant de la pop alternative ce qui est une bonne définition pour englober les divers styles du groupe pas complètement rock ni complètement pop.
Dabeull Live Band
Vers 19h le samedi soir, donc un horaire assez premium, j’ai eu du mal à saisir la présence d’un groupe de funk dans un festival intitulé Rock en Seine. C’était sympa mais honnêtement pas transcendant.
John Maus
Jamais je n’ai vu un professeur de philosophie se donner autant sur scène avec ses sons électro. Seul sur scène, l’homme de 45 ans a littéralement mouillé la chemise en s’agitant de la tête aux pieds non stop. C’était une intéressante découverte. Les images parleront d’elles-mêmes je pense.
Jorja Smith
Je me suis retrouvé sur les talus aux abords du festival tant la foule s’était amassée devant la scène. Elle jouit d’une voix unique lui permettant de s’affirmer dans plusieurs genres notamment la soul avec des fonds de trip hop. Cependant il y avait une assez faible plus-value sur l’expérience live car peu d’interaction avec le public ou de mouvements sur scène.
Jamie XX
Après l’apaisant et presque endormant concert précédent, le DJ seul sur scène entend bien réveiller la foule et la chauffer à plein régime avant le headliner du soir et le groupe que j’attends le plus : Justice. Ici le projet est simple : de l’electro pour danser de tout son corps. La foule est massive malgré les 22h00, pas le choix donc que de se positionner bien en retrait en fond de fosse.
Sur les écrans de la scène Revolut, on aperçoit un chanteur dans la fosse près de la régie il me semble. Mais impossible de le voir de mes propres yeux.
Justice
Avant que le concert ne démarre, les écrans géants annonçaient la couleur : vous allez en prendre plein la gueule. Ils n’ont pas menti. Les deux légendes de l’electro sont entourées de lumière du sol, mur au plafond. Celles-ci sont mouvantes et offrent une chorégraphie lumineuse hypnotisante pendant que la foule s’agite sur tous les hits du groupe avant de partir dormir. Une expérience à vivre en live !
Merci Revolut !
Partenaire majeur du festival, la banque en ligne avait plusieurs activations sur le festival. Il était possible de voir les concerts de la main stage sur un espace latéral à celle-ci pour ne pas être trop loin de la scène. Cela donnait aussi accès à des toilettes, bars et restos dédiés à cet espace pour éviter de longues files d’attente.
Revolut avait aussi sponsorisé une des scènes du festival (la seconde plus grosse).
Enfin bien évidemment elle avait un stand. Sur celui-ci, les festivaliers étaient invités à entrer un code pin qu’ils pouvaient générer sur place ou qui était visible sur de nombreux panneaux que leurs animateurs portaient à travers le festival. Divers petits lots ainsi que des places et upgrades pour accéder au Revolut Garden étaient en jeu.
En discutant avec les équipes sur place le mercredi, la marque m’a fait la sympathie de me transmettre deux places pour inviter deux amis durant le weeekend.
Jour 5 de Rock en Seine 2025
Le dimanche, j’étais explosé de fatigue. La marche entre chaque scène devenait compliquée, j’ai donc réduit ma quantité de shows vus ce jour-là mais c’était sans doute la date la plus rock de toutes.
Treaks
Sur la petite scène bosquet au fin fond du festival, le trio français mené par une chanteuse a proposé du post punk tant attendu dans ce festival soi-disant rock. Des gros riffs et une sono qui semblait mieux réglée que sur d’autres scènes des dates passées ont permis d’offrir un concert à bien s’agiter la tête dans la fosse en ce début d’après-midi de dernier jour de rock en seine. Une intéressante découverte pour cette édition 2025. La chanteuse n’a pas hésité à faire le tour de la fosse avec son micro filaire que la foule maintenait en hauteur pour éviter les emmêlements.
Fat dog
Sans doute la révélation musicale du festival pour moi avec son punk rock aux accents ska et autres genres. Fat Dog est un groupe hétéroclite : violon, saxophone, guitares batterie et boîte à rythme composent ce septuor. Vraiment une bande de dingues qui sautent et dansent partout. Le chanteur n’a pas hésité à s’offrir un bain de foule en chantant. On a eu droit à des circle pit et wall of death durant ce concert comme le montrent mes vidéos.
Sharon Van Etten & The Attachment Theory
Sans doute l’artiste de cette liste dont j’ai parlé il y a le plus longtemps sur mon site, je l’ai connue et ai été marqué par sa carrière solo. Désormais, elle apporte sa voix magnétique au groupe qui l’entoure tout en captivant toujours avec magie l’audience du festival parisien. Petite boule d’énergie dans sa robe noire elle enchante le public qui ne peut que sourire et apprécier l’expérience proposée. Il me semble qu’elle a tant dansé qu’elle en a cassé sa robe et a dû se couvrir en vitesse d’une veste pour conserver sa pudeur. Prenant des notes au moment où elle s’est changée, je présume que c’est la raison de ce changement inattendu alors qu’il faisait extrêmement chaud. Les cinq membres du groupe offraient un style new wave / post punk particulièrement plaisant en ce milieu d’après-midi.
TVOD
TVOD sont définitivement des purs punks américains dans l’âme en buvant du vin rouge à même la bouteille sur scène. La foule se défoule gentiment dans la fosse en pogotant. Le chanteur n’hésite d’ailleurs pas se joindre à la fête durant sa chanson “party time”. Une chouette découverte de performance live avec un chanteur déchaîné qui finit le set en chantant sur le public (cf vidéo).
Suuns
Suuns propose un son assez pesant et lourd mais clairement pas trop pour moi avec beaucoup trop d’indus et expérimental à mon goût.
The Limiñanas
Une prestation rock assez traditionnelle qui ne m’a pas particulièrement marqué. C’est l’heure du dernier repos avant la star du soir qui clôturait le festival.
Queens of the Stone Age
À ce moment je suis épuisé et j’ai les pieds en feu. Je capture vite fait quelques images sur le floor ARCHI blindé avant de retourner à l’espace presse pour voir le reste du concert retransmis sur un écran géant. Je regrette pour un headliner de ne pas proposer de véritable show. Ils ne font que chanter. Il n’y a pas d’effets visuels ou de scénographie pour enrichir l’expérience live. C’est au final assez pauvre comme contenu. Le groupe propose du rock old school qui n’est pas tellement ma came mais reste un groupe culte.
Malgré cela, le dimanche a été riche en découvertes et expériences live appréciables avec notamment en tête le show de Fat Dog et ses wall of death, circle pit et autres communions avec la foule.
Conclusion et remerciements
Si j’ai été, sans surprise, pleinement satisfait par les shows de Justice, Aurora et Sharon Van Etten & The Attachment Theory, j’ai pris plaisir à découvrir quelques artistes comme Fat Dog, TVOD et Anyma. Trop régulièrement, j’ai malheureusement eu le sentiement que la régie était partie prendre le goûter et désirait nous détruire les tympans.
Grâce à Mister MV, Poca et l’agence Newvoice, j’ai pu profiter de la meilleure vue de Rock en Seine 2025 pour une expérience unique durant le show de Chappell Roan. Je leur en suis infiniment reconnaissant. Je souhaite d’ailleurs un excellent anniversaire à Mister MV et vous invite à suivre son stream dans une grosse semaine lors de l’événement caritatif que je ne raterai pour rien au monde : le ZEvent !
Je remercie Revolut de m’avoir transmis une paire de places pour convier deux amis avec moi le samedi. On a eu quelques soucis pour accéder au Revolut Garden qui bordait la scène mais ce n’est pas grave au moins on était ensemble dans le festival. L’an prochain peut-être en s’y prenant davantage en avance ;)
Merci également à Realme de m’avoir prêté le GT 7 Dream Edition aux couleurs d’Aston Martin. Tant qu’on zoomait pas trop, ça allait mais dès que je passais en *5 ou au-delà, ça devenait compliqué d’avoir un joli visage d’artiste sur scène. Je vous laisse vous faire votre propore opinion sur la qualité des images avec les dizaines de médias visibles dans l’article.
Enfin évidemment merci à l’agence Ephelide en charge des RP de Rock en Seine pour mon accréditation média.
Malgré un festival intitulé Rock en Seine, j’ai trouvé le festival majoritairement rempli d’artistes pop et électro. L’occasion de remettre cette vidéo légendaire qui explique ce qu’est le rock.
